Vous avez cliqué sur une destination premium... il faut la débloquer. Pour cela, allez dans nos l'onglet "Forfaits" et choisissez celui qui vous convient le plus !
Bonne création et bon futur voyage !
Située au cœur des Andes, la diversité du territoire bolivien est à l’image de la richesse du pays.
La Bolivie, pleine de couleurs, de fêtes où s’entremêlent rites précolombiens et chrétiens, de paysages grandioses aux ciels d’une rare pureté, est un pays à part, déroutant et envoûtant.
Le trésor des mines d’argent de Potosí, qui finançait les expéditions à la recherche de l’Eldorado, y a façonné des villes au baroque triomphant.
En contrepoint s’étendent : les grands espaces de l’Altiplano et de l’Amazonie ; la géométrie étale du salar d’Uyuni éclatant de blancheur ; le gigantisme haut perché du lac Titicaca ; les sommets somptueux de la cordillère Royale et les volcans du parc Amboró.
Bienvenue au cœur des Andes et de l’Amérique latine !
Les ponchos traditionnels boliviens sont parfaits pour être au chaud dans des endroits froids, comme dans les Andes. La plupart sont en laine d'alpaga, cet animal qui est originaire du pays. Les ponchos sont de grande qualité et constituent donc le cadeau idéal à emporter avec vous.
C’est l’une des boissons andines les plus consommées en Bolivie. C’est une infusion à partir de feuille de coca. Elle est utilisée avant tout à des fins curatives contre le mal de l’altitude, contre la fatigue ou lors de cérémonies religieuses. Cette boisson est très importante pour le pays car il n’est pas facile de s’acclimater à l’altitude très importante. C’est donc la boisson Bolivienne par excellence !
L'aguayo traditionnel est un tissu fait main utilisé par les femmes des hauts plateaux de Bolivie et du Pérou. Il peut être fabriqué à partir de laine de lama, de mouton ou d'alpaga et est teinté avec des colorants naturels. Il peut être transformé en manteaux boliviens traditionnels. Ces manteaux sont fabriqués par des femmes boliviennes de manière artisanale. Ces tissus sont utilisés aussi bien comme sac pour transporter des colis que pour transporter les bébés.
Dans tous les marchés, vous trouverez des exemples de la céramique traditionnelle du pays. Il y a des vases, des pots, des bocaux peints avec des dessins raffinés, ou plus simples, de la couleur d'origine de l'argile. La Bolivie regorge de petits artisans créateurs de poteries à base d’argile de la région, portant les signes distinctifs de la tradition précolombienne.
L'amétrine, également connue sous le nom de Pierre Bolivianite, est un mélange d'améthyste et de citrate. L’amétrine est une pierre jaune et violette, elle peut avoir plus de jaune que de violet ou inversement, cela dépend de la proportion d’améthyste pour le violet et de citrine pour le jaune. Ce trésor de la nature ne se trouve qu'en Bolivie. Si vous cherchez un cadeau spécial comme souvenir de votre voyage, ce petit bijou est ce que vous cherchez.
Aliment de base des populations locales, cette graine est cultivée dans la cordillère des Andes depuis l’époque précolombienne. La Bolivie est le premier pays exportateur de quinoa au monde, que l’on appelle la graine d’or des Andes. La qualité première de cette graine est sa capacité à pousser dans des milieux hostiles.
Le Salar d'Uyuni regorge également de lithium en grandes quantités. Ce dernier contient à peu près la moitié des réserves de lithium du monde entier. Les batteries qui alimentent les voitures électriques ou les smartphones fonctionnent grâce à ce métal. L’exploitation du lithium, qui n’en est qu’à ses débuts, risque de bouleverser la magie de ce désert de sel car le pompage des nappes phréatiques risque de pénaliser les communautés quechuas et aymaras vivant aux alentour, de même que les majestueux flamants roses, stars de cet écosystème unique.
Pour entrer sur le territoire bolivien, un passeport valable 6 mois après la date de retour est nécessaire. Pas besoin de faire de démarches spécifiques. Lorsque vous entrez dans le pays, on vous délivre automatiquement une autorisation de séjour de 30 jours et peut être prolongée gratuitement à 60 jours. Il est important de bien conserver la “Tarjeta”, petit papier vert tamponné que l’on vous remet à l’entrée du territoire car ce document vous sera demandé à la sortie.
La monnaie nationale Bolivienne est le boliviano (noté Bs ou BOB). Un euro correspond à environ 8,25 boliviano cette valeur est souvent la même car c’est l’une des monnaies les plus stables de la région. Un dollar correspond à 6,90 bolivianos et ils sont acceptés dans les lieux touristiques et de nombreux commerces des grandes villes. Le principal mode de paiement du pays est le liquide. Il vous sera compliqué de payer en carte de crédit car les commerces ne sont pas tous équipés.
Aucun vaccin n’est exigé à l’entrée en Bolivie. De même pour le COVID 19, Aucune vaccination n’est obligatoire pour entrer dans le territoire. Il faudra cependant avoir vos vaccins universels suivants à jour : Tétanos, Coqueluche, Hépatite A et B, Diphtérie et Poliomyélite. De plus, il est fortement conseillé de vous faire vacciner contre la fièvre jaune ainsi que de prévoir une protection contre le paludisme si vous décidez de vous rendre dans les régions à une altitude inférieure à 2 300 mètres.
Il est préférable de vous rendre en Bolivie en dehors de la saison des pluies c'est-à -dire d'avril à décembre afin d’éviter l’humidité et la chaleur du plein été. Il est préférable d’éviter les mois de janvier, février et mars car les précipitations sont importantes dans tout le pays ce qui rend impraticables les pistes.
De nombreux vols internationaux atterrissent quotidiennement dans le pays. Malheureusement, peu de compagnies effectuent des vols directs pour la Bolivie. Depuis Paris, il faudra prévoir une escale à Madrid ou dans un pays d’Amérique latine afin de rallier le pays, cela représente environ 18h de vol. Si vous partez en heure d’hiver française, Il y a 5 heures de décalage horaire entre la France et la Bolivie, et 6 heures de décalage horaire, si vous partez en heure d’été française.
Parfois le seul plat de la journée. Il existe une grande variété de soupes en Bolivie : “le locro”, vous y trouverez une cuisse de poulet, des œufs, du riz et des épices. La “sopa de mani”, à base de cacahuètes, un peu de lait, de pommes de terre, de viande et un peu d’épices.
Chausson à la viande, œufs, olives, pommes de terre, petits pois accompagné d’une sauce pimentée. Il se mange pendant la pause matinale entre 10 heures et midi. C’est le parfait en-cas.
Plat à base de porc ou de poulet cuit dans l’huile assaisonnée avec de l’ail, du citron et de l’origan. Il est généralement accompagné de maïs blanc. Parfait pour affronter le froid des hauteurs.
Cette soupe de La Paz se consomme dans des plats spéciaux en terre cuite. C’est un potage de pommes de terres déshydratées (chuño), de viande d’agneau, de viande de bœuf et de charque (viande séchée et salée).
C’est très simple. Des morceaux de carré de rumsteck grillés, des frites, des tomates et des piments rouges. Un des plats excellents de Cochabamba, la capitale gastronomique de la Bolivie !
Spécialité de la ville de Sucre. Un peu de poulet, un peu de viande de porc, un peu de “charkekan”. Les vieilles recettes des grand-mères de Sucre vous feront vider une bouteille d’eau en quelques secondes car elles sont parfois très piquantes.
Les Compadres et Comadres font habituellement référence aux parrains et aux marraines du baptême catholique. En Bolivie, les relations entre Compadres et Comadres peuvent renvoyer uniquement à des rapports amicaux très proches. La fête se célèbre l’ avant-dernier jeudi avant le carnaval. Ce sont alors les hommes qui célèbrent chez leurs amis ou sur leur lieu de travail autour d’un repas et quelques danses. Le jeudi suivant, se sont les femmes, donc les Comadres qui célèbrent.
Le carnaval d’Oruro est l’un des plus grands évènements culturels annuels de Bolivie. Il est célébré dans la ville d’Oruro et est vieux de 2 000 ans. Le carnaval est un ensemble de 28 000 danseurs et près de 10 000 musiciens qui défilent dans les rues de la ville ! Ils réalisent leur pèlerinage sur un trajet de quatre kilomètres, jusqu’au sanctuaire de la mine chaque samedi de carnaval. Ce carnaval fut inscrit au Patrimoine Mondial de l’Unesco pour sa créativité, sa continuité et sa ritualité !
La Fiesta de la Uva (fête du raisin) se tient chaque année dans la vallée de Concepcion, dans le département de Santa Cruz. Les producteurs de raisin se réunissent pour présenter leurs produits aux visiteurs. Cette fête se tient pendant la seconde quinzaine de mars et une reine y est élue.
Cette danse renvoie à la colonisation espagnole et aux esclaves africains qui travaillaient dans les mines de Potosi. La Morenada, accompagnée d’une musique mélancolique, symbolise ces conditions difficiles. Les danseurs portent des costumes et des masques noirs et ils reproduisent les gestes de ces esclaves.
Les ponchos traditionnels boliviens sont parfaits pour être au chaud dans des endroits froids, comme dans les Andes. La plupart sont en laine d'alpaga, cet animal qui est originaire du pays. Les ponchos sont de grande qualité et constituent donc le cadeau idéal à emporter avec vous.
C’est l’une des boissons andines les plus consommées en Bolivie. C’est une infusion à partir de feuille de coca. Elle est utilisée avant tout à des fins curatives contre le mal de l’altitude, contre la fatigue ou lors de cérémonies religieuses. Cette boisson est très importante pour le pays car il n’est pas facile de s’acclimater à l’altitude très importante. C’est donc la boisson Bolivienne par excellence !
L'aguayo traditionnel est un tissu fait main utilisé par les femmes des hauts plateaux de Bolivie et du Pérou. Il peut être fabriqué à partir de laine de lama, de mouton ou d'alpaga et est teinté avec des colorants naturels. Il peut être transformé en manteaux boliviens traditionnels. Ces manteaux sont fabriqués par des femmes boliviennes de manière artisanale. Ces tissus sont utilisés aussi bien comme sac pour transporter des colis que pour transporter les bébés.
Dans tous les marchés, vous trouverez des exemples de la céramique traditionnelle du pays. Il y a des vases, des pots, des bocaux peints avec des dessins raffinés, ou plus simples, de la couleur d'origine de l'argile. La Bolivie regorge de petits artisans créateurs de poteries à base d’argile de la région, portant les signes distinctifs de la tradition précolombienne.
L'amétrine, également connue sous le nom de Pierre Bolivianite, est un mélange d'améthyste et de citrate. L’amétrine est une pierre jaune et violette, elle peut avoir plus de jaune que de violet ou inversement, cela dépend de la proportion d’améthyste pour le violet et de citrine pour le jaune. Ce trésor de la nature ne se trouve qu'en Bolivie. Si vous cherchez un cadeau spécial comme souvenir de votre voyage, ce petit bijou est ce que vous cherchez.
Aliment de base des populations locales, cette graine est cultivée dans la cordillère des Andes depuis l’époque précolombienne. La Bolivie est le premier pays exportateur de quinoa au monde, que l’on appelle la graine d’or des Andes. La qualité première de cette graine est sa capacité à pousser dans des milieux hostiles.
Le Salar d'Uyuni regorge également de lithium en grandes quantités. Ce dernier contient à peu près la moitié des réserves de lithium du monde entier. Les batteries qui alimentent les voitures électriques ou les smartphones fonctionnent grâce à ce métal. L’exploitation du lithium, qui n’en est qu’à ses débuts, risque de bouleverser la magie de ce désert de sel car le pompage des nappes phréatiques risque de pénaliser les communautés quechuas et aymaras vivant aux alentour, de même que les majestueux flamants roses, stars de cet écosystème unique.
Pour entrer sur le territoire bolivien, un passeport valable 6 mois après la date de retour est nécessaire. Pas besoin de faire de démarches spécifiques. Lorsque vous entrez dans le pays, on vous délivre automatiquement une autorisation de séjour de 30 jours et peut être prolongée gratuitement à 60 jours. Il est important de bien conserver la “Tarjeta”, petit papier vert tamponné que l’on vous remet à l’entrée du territoire car ce document vous sera demandé à la sortie.
La monnaie nationale Bolivienne est le boliviano (noté Bs ou BOB). Un euro correspond à environ 8,25 boliviano cette valeur est souvent la même car c’est l’une des monnaies les plus stables de la région. Un dollar correspond à 6,90 bolivianos et ils sont acceptés dans les lieux touristiques et de nombreux commerces des grandes villes. Le principal mode de paiement du pays est le liquide. Il vous sera compliqué de payer en carte de crédit car les commerces ne sont pas tous équipés.
Aucun vaccin n’est exigé à l’entrée en Bolivie. De même pour le COVID 19, Aucune vaccination n’est obligatoire pour entrer dans le territoire. Il faudra cependant avoir vos vaccins universels suivants à jour : Tétanos, Coqueluche, Hépatite A et B, Diphtérie et Poliomyélite. De plus, il est fortement conseillé de vous faire vacciner contre la fièvre jaune ainsi que de prévoir une protection contre le paludisme si vous décidez de vous rendre dans les régions à une altitude inférieure à 2 300 mètres.
Il est préférable de vous rendre en Bolivie en dehors de la saison des pluies c'est-à -dire d'avril à décembre afin d’éviter l’humidité et la chaleur du plein été. Il est préférable d’éviter les mois de janvier, février et mars car les précipitations sont importantes dans tout le pays ce qui rend impraticables les pistes.
De nombreux vols internationaux atterrissent quotidiennement dans le pays. Malheureusement, peu de compagnies effectuent des vols directs pour la Bolivie. Depuis Paris, il faudra prévoir une escale à Madrid ou dans un pays d’Amérique latine afin de rallier le pays, cela représente environ 18h de vol. Si vous partez en heure d’hiver française, Il y a 5 heures de décalage horaire entre la France et la Bolivie, et 6 heures de décalage horaire, si vous partez en heure d’été française.
Parfois le seul plat de la journée. Il existe une grande variété de soupes en Bolivie : “le locro”, vous y trouverez une cuisse de poulet, des œufs, du riz et des épices. La “sopa de mani”, à base de cacahuètes, un peu de lait, de pommes de terre, de viande et un peu d’épices.
Chausson à la viande, œufs, olives, pommes de terre, petits pois accompagné d’une sauce pimentée. Il se mange pendant la pause matinale entre 10 heures et midi. C’est le parfait en-cas.
Plat à base de porc ou de poulet cuit dans l’huile assaisonnée avec de l’ail, du citron et de l’origan. Il est généralement accompagné de maïs blanc. Parfait pour affronter le froid des hauteurs.
Cette soupe de La Paz se consomme dans des plats spéciaux en terre cuite. C’est un potage de pommes de terres déshydratées (chuño), de viande d’agneau, de viande de bœuf et de charque (viande séchée et salée).
C’est très simple. Des morceaux de carré de rumsteck grillés, des frites, des tomates et des piments rouges. Un des plats excellents de Cochabamba, la capitale gastronomique de la Bolivie !
Spécialité de la ville de Sucre. Un peu de poulet, un peu de viande de porc, un peu de “charkekan”. Les vieilles recettes des grand-mères de Sucre vous feront vider une bouteille d’eau en quelques secondes car elles sont parfois très piquantes.
Les Compadres et Comadres font habituellement référence aux parrains et aux marraines du baptême catholique. En Bolivie, les relations entre Compadres et Comadres peuvent renvoyer uniquement à des rapports amicaux très proches. La fête se célèbre l’ avant-dernier jeudi avant le carnaval. Ce sont alors les hommes qui célèbrent chez leurs amis ou sur leur lieu de travail autour d’un repas et quelques danses. Le jeudi suivant, se sont les femmes, donc les Comadres qui célèbrent.
Le carnaval d’Oruro est l’un des plus grands évènements culturels annuels de Bolivie. Il est célébré dans la ville d’Oruro et est vieux de 2 000 ans. Le carnaval est un ensemble de 28 000 danseurs et près de 10 000 musiciens qui défilent dans les rues de la ville ! Ils réalisent leur pèlerinage sur un trajet de quatre kilomètres, jusqu’au sanctuaire de la mine chaque samedi de carnaval. Ce carnaval fut inscrit au Patrimoine Mondial de l’Unesco pour sa créativité, sa continuité et sa ritualité !
La Fiesta de la Uva (fête du raisin) se tient chaque année dans la vallée de Concepcion, dans le département de Santa Cruz. Les producteurs de raisin se réunissent pour présenter leurs produits aux visiteurs. Cette fête se tient pendant la seconde quinzaine de mars et une reine y est élue.
Cette danse renvoie à la colonisation espagnole et aux esclaves africains qui travaillaient dans les mines de Potosi. La Morenada, accompagnée d’une musique mélancolique, symbolise ces conditions difficiles. Les danseurs portent des costumes et des masques noirs et ils reproduisent les gestes de ces esclaves.
Bonne création et bon futur voyage !